Saviez-vous que :

Voici un méli-mélo de diverses informations ou des statistiques intéressantes. J’alimenterai cette liste dès que je tombe sur quelque chose digne d’intérêt.

Saviez-vous que :

• Comparativement aux librairies qui se gardent 40 % du prix de vente, chez Club Price (Costco), 58 % du prix de vente reste entre les mains du magasin! Vous comprendrez mieux pourquoi Club Price parvient à vendre les livres moins cher: ses prix sont plus bas, mais le magasin garde une plus grande part.
  
  
• Au États-unis, selon plusieurs ouvrages, nous classifions un roman en « BEST-SELLER » lorsqu’il atteint 50 000 exemplaires en circulation. Ici au Québec il suffit de vendre 1500 exemplaires d'un livre pour que celui-ci soit considéré comme un best-seller. Cela donne une idée de la petitesse du marché.
  
  
• Une enquête réalisée auprès des écrivains du Québec révèle à peine 9% des écrivains comptent sur leurs droits d’auteur comme principale source de revenu. Plus spécifiquement, les droits d’auteur représentent la principale source de revenu de 13 % des écrivaines contre 7% pour les écrivains.
  
  
• La lecture connaît un léger mieux en termes d’usages. En 1999, 52% des québécois lisaient. Dorénavant 59,2% d’entre eux affirmaient avoir ouvert un livre en 2004. De même la fréquentation des bibliothèques est en augmentation, passant de 37,3% en 1999 à 47,7% en 2004. Dans les deux cas ce sont les femmes qui contribuent fortement à ce nouvel élan. Chez les les jeunes, 81 % des filles lisent contre 71 % des garçons (étude CNL).
  
  
• Aujourd’hui encore en tant qu’auteur les hommes sont majoritaires, mais la présence des femmes apparaît un peu plus marquée : elles représentent un peu moins de 40 %. Il s’agit d’une tendance qui ne peut que s’accentuer au cours des prochaines années, puisque, chez les 25-44 ans et les 45-54 ans, cette proportion est plus élevée, respectivement de 41,0 % et de 44,2 %.
  
  
• Chez les écrivains actifs depuis les trois dernières années, les quatre catégories éditoriales ou genres les plus importants et qui caractérisent le mieux selon eux leur production sont : d’abord le roman (33,1 %), suivi de la poésie (21,0 %), puis de l’essai (12,5 %) et de la littérature jeunesse (12,2 %). Chacune des autres catégories concerne moins de 5 % de l’effectif.
  

Au Québec, c'est plutôt 3000, la marque pour un best-seller en roman adulte, et 5000 ventes (à prix régulier) pour un roman jeunesse. En poésie, c'est 250.

Salut Urmass-Thyann,

Sur internet, il semble avoir plusieurs ligne de pensé sur la quantité d'exemplaire pour avoir un best-seller quebecois. As-tu ta source ?

Tes chiffres sembles un peu plus réaliste que les miens....

Ce sont les chiffres qui m'avaient été donnés par l'UNEQ, si je me souviens bien.

Dans les années 80, il n'était pas rare que les romans jeunesse québécois atteignent des ventes de 30 000 exemplaires, mais il n'y en avait pas beaucoup, donc c'était plus concentré.

Bonjour,

J'ai aussi entendu plusieurs opinions différentes sur le nombre requis pour être considéré comme "Best-seller" au Québec. Étant donné qu'il n'y a pas d'organisme qui réglement le tout, comme c'est le cas pour la musique on ne peut avoir de chiffre précis.

Mon éditeur me dit considéré un best seller pour un roman à 3000 copies, peu importe à quel public il s'adresse. Et c'est ce que j'ai entendi ailleurs aussi, mais j'ai aussi entendu 1500 comme le dit Stephan et 5000 comme le mentionne Mathieu.

moi je n'en ai aucune idée!mais c'est cool ces informations sur les livres!