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 Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!

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BartCode
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MessageSujet: Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!   Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_minitime1Ven 23 Juil - 14:33

Bonjour voila, j'ai récemment écrit un livre, et j'aimerais avoir des critiques pour 3 chapitres ! Smile

Merci beaucoup

Chapitre 1


J’étais au travail avec un de mes trois meilleurs amis. Son nom est Justin. C’est un homme qui adore la vie, mais il est surtout craintif depuis qu’il a perdu sa sœur dans un accident d’auto. Le mari de celle-ci avait bu au moins trois bières et demi et il c’est mit à conduire, il était très soul, mais qu’est-ce qui a tuer sa sœur c’est qu’ils avaient percutés un arbre qui était au coin d’un fossé. Ils l’ont emmené à l’hôpital elle était dans un état critique mais avant de mourir elle eu la chance de lui dire de faire une expédition dans une forêt tropical. C’était le plus grand rêve de sa sœur, car elle aimait toute les sortes d’animaux qu’il y avait dans une forêt tropicale, les oiseaux, les panthères, etc. Moi aussi j’adore les animaux, mais moi j’aime mieux les tigres.
Il était entrain de planifier ce voyage il me là déjà proposé et j’étais d’accord. Avant cela je m’étais déjà préparé, je suis allé me faire vacciner contre toute sorte de bactérie, ça s’était il y a deux jours, c’est ma femme Johanne qui me l’avait proposé, Mais avant que je parte en voyage il faut que j’aille mes vacances du 15 novembre au 15 décembre. Car nous partons environ un mois et demi. Dans ma famille j’ai deux magnifiques enfants, un gars et deux filles mon garçon s’appelle Jonathan, il est habillé toujours les pantalons par terre, avec un œil pas de la même couleur que l’autre un vert et un bleu. Il a aussi de long chandail noir et des pantalons noirs avec les cheveux noirs, il a treize ans et demi. La plus jeune de la famille nommé Sophia à maintenant 10 ans, c’est une fille extrêmement sportive, elle fait du soccer l’été et de la ringuette l’hiver. Dans la ringuette elle est la meilleure de son équipe elle a au total 10 buts et sa saison vient de commencer il y a déjà six parties de fait elle a en moyenne deux buts par partie. Au soccer elle est un peu moins bonne, la saison de cet été à été jouer avec trente parties en tout et elle a compté six buts. Elle aime beaucoup sa vie et elle m’adore plus que ça mère car, elle est plus sévère que moi, elle est plus ordonnée que moi. Ma femme s’appelle Johanne, c’est une fille qui a eu du mal à accepter que son père soit mort elle nous en parle presque tout les jours, il était quelqu’un qui comptait vraiment pour elle. Ma femme a les cheveux blonds, elle est très gentille avec le monde, elle a presque juste des chandails rose, c’est sa couleur préféré. Moi bien c’est Denis comme vous pouvez le constaté je suis à mon travail. Moi je m’habille normalement, genre un chandail rouge avec du bleu foncé au bout des manches, des pantalons jeans troués. Des souliers de courses, je ne porte pas de lunette. J’adore mes enfants, j’adore ma femme, enfin bref… j’aime ma famille, sauf que je déteste mon emploi.
Mon patron est vraiment méchant car il déteste les enfants et payer le monde. Ça fait dix ans que je travail dans une entreprise téléphonique c’est moi qui répare les lignes qui sont brisé : soit par les tempêtes de neige ou des crises de verglas. Cela arrive vraiment souvent, des fois mon patron me dit : Il faut que tu travails toute la nuit parce que Bertrand n’est pas encore venu travailler. Bertrand c’est le gars le plus souvent absents du bureau, soit parce qu’il a des troubles avec sa famille, ou il a la grippe saisonnière. Pis le pire dans tout ça, c’est moi qui doit remplacer la plupart du monde qui travail dans cette entreprise, parce que c’est moi qui est le plus vieux qui travail à cet endroit. Des fois j’ai le gout de donner ma démission mais à chaque un de mes meilleurs amis va me convaincre de rester.
Mes meilleurs amis s’appellent Alexis, Justin et Dominic. Justin c’est un gars simple, son seul problème c’est qu’il mange trop de croustilles, de chocolats, et de bonbons, je lui demande tout le temps pourquoi tu manges autant de mauvaise chose comme ça. Il répond toujours avec la même phrase : Je mange ça, c’est parce que je m’ennuie ! Toute les filles du bureau sont collé contre lui c’est parce qu’il les séduits avec son air taquin. Mais moi ça ne me dérange pas car je suis marié depuis plus de douze ans, et que lui il est célibataire, il est divorcé avec son ancienne femme depuis plus de cinq ans. Il a un garçon de huit ans et demi. Il est super gentil son garçon. Il s’appelle Michael, très petit pour son âge.
Alexis lui c’est un gars très dur à suivre, mais parfois très drôle, lui il ne cherche pas le trouble, il est très peureux. Son défaut c’est qu’il a tendance à se rendre nerveux pour des choses qui ne sont pas importante, comme être nerveux pour un oubli, une réaction de sa femme. Alexis à un enfant du nom de Fabrice, il a trois ans et demi, il ne boit plus à la bouteille il boit dans un verre normal sauf avec un couvercle par-dessus le haut de son verre. Je suis le parrain de se fabuleux, garçon. Quand que je suis allé chez eux, il a commencé à boire dans un vrai verre. Nous avions tellement rit cette journée là, car Alexis lui avait fait boire une gorgé de bière et il l’avait tout de suite craché sur la table.
Dominic lui c’est un gars, qui est souvent bizarre, je le trouve vraiment bizarre. Lui c’est un gars du genre à chercher la bagarre. Il se chicane souvent avec ses amis, il est souvent bête, c’est un gars qui dit n’avoir peur de rien du tout mais son seul inconvénient c’est qu’il n’est pas très intelligent il pose souvent des questions facile à savoir. Moi je trouve qu’il a peur de bien des choses. Comme il a peur des araignées, des fourmis et des petits serpents qui on la longueur d’une baguette chinoise. Il a une femme, un peut avec un style vestimentaire très spécial des années soixante-dix, elle est bizarre, elle dit souvent des gros mots, fume ses cigarettes très souvent. À chaque fois que je vais chez Dominic, elle me fait une pouffé de cigarette dans le visage. Son garçon du nom de Cody a un comportement peu commun, il est hyperactif extrême. Quand je vais chez eux, je vois toujours son garçon entrain d’écrire sur les murs, ou bien jouer avec l’eau des toilettes. Pourtant son enfant n’a que cinq ans, et sa femme trente quatre ans. Je suis si surpris de les voire dans cette état, parce qu’une famille de se genre on ne voit pas ça tout les jours.
La planification du voyage est déjà organisée, Alexis en avait parlé à Justin, Dominic et moi, il faut que j’aille mes vacances du 15 novembre au 15 décembre parce que nous partons le 20 novembre mais aussi je dois préparer mes choses. Je n’ai pas commencé je ne sais pas c’est quand mes vacances. C’est presque sur que j’ai mes vacances, parce que ça fait dix ans que je travail toujours à cette entreprise téléphonique, que je n’aime pas vraiment. Honnêtement, ce voyage sera ma première aventure dans une forêt amazonienne.
- As-tu terminé tes préparations au voyage ? me demande Alexis.
- Non je n’ai même pas commencé car je ne sais pas si j’ai mes vacances, j’ai parlé de se sujet au patron, il doit surement me le confirmé bientôt
- D’accord, tu m’avertiras quand tu le sauras.
- Toi, as-tu tes vacances ? je demande.
- Oui, j’ai eu mes vacances sans problème, me répond-il fier de lui.
- O.K
Il est chanceux il a eu ses vacances sans problème. J’ai tellement hâte de savoir la réponse, mais je continue à croiser mes doigts. Mais d’après moi, un mois se serait trop long surement qu’il y aurait un blocage quelque part.
Tout à coup, la secrétaire de mon patron venait me chercher.
- Denis ? Le patron veut te voir.
Donc je me lève et je vais directement à son bureau.







Chapitre 2


J’étais assis sur une chaise devant son bureau. Il n’était pas là pour l’instant, le patron ressemble à un vieux monsieur, il a près de soixante et huit ans, il n’a jamais eu de femme. Il n’a pas d’enfant car il déteste les enfants il trouve que cela brise une vie, moi je ne trouve pas, il est trop bizarre cet homme on dirait qu’il croit qu’il y a juste lui sur la planète, il ne pense jamais aux autres. Il est toujours habillé comme s’il serait très riche, comme un homme d’affaire dans le fond ou un agent immobilier, il a toujours ses lunettes de riche, il ne se rase presque jamais, il a souvent une barbichette, il change souvent de style de rasage. Il a les cheveux gras, gris et noir.
Quand que je suis entré, j’ai comme eu un frisson comme quoi que je n’aurais pas mes vacances. Il n’est toujours pas là donc je remarque sur son bureau qu’il a un petit jeu de patience, c’est un cube de couleur. Je le prends dans mes mains et j’essaie de constituer le cube au complet, c’est très compliqué. Bon, J’ai réussis à faire un carré. Mais les autres sons tout mélangé. Tout à coup mon patron entra dans son bureau.
- Ah Denis ! me dit-il.
- Oui, vous vouliez me voir ? je demande.
- Oui c’est au sujet de tes vacances !
Mon cœur se mets à battre très fort. Je suis nerveux, je mets mes mains derrière mon dos j’avais les doigts croisé.
- Les nouvelles sont-elle bonne ? je demande.
- Ni oui, ni non, dit le patron en me regardant d’un drôle air.
- D’accord c’est quoi le problème alors ?
- Tu ne pourras pas avoir tes vacances pour un mois. Avais-tu demandé du 15 novembre au 15 décembre ?
- Oui !
- À la place je pourrais te laisser du 30 novembre au 15 décembre.
- Mais patron… Nous partons le 20 novembre, dis-je.
- Je sais tout ça ! Mais tu ne peux pas c’est aussi simple que ça ! C’est à prendre ou à laisser.
- Bon, je vais les prendre, je réponds d’un ton grave.
- Maintenant retourne travailler, dit-il en haussant le ton.
Je retourne à mon bureau, quand que j’aperçu Alexis qui m’attendait depuis plus de vingt minutes. Il me demande :
- Et puis ?
- J’ai seulement du 30 novembre au 15 décembre.
- J’espère que c’est une blague ? dit Alexis sarcastiquement.
- Je ne suis pas d’humeur de faire des blagues Alexis !
- Bon bien qu’est-ce que tu vas faire ? dit-il avec une voix calme.
- Je ne sais pas du tout ! dis-je de plus en plus en colère, je croie que je vais démissionner. Comme ça j’aurais mes vacances, puis aussi plus de patron sévère.
- Pense un petit peu avant, me suggère Alexis, couche toi tôt se soir. Tu me le diras demain, ou bien parle à ta femme elle surement te suggérer quelque chose.
- C’est bon je vais suivre ton conseil, dis-je aussitôt.
J’ai hâte que la journée finisse pour que je puisse en parler à ma femme et bien penser à tout ça. Il y a de grosses chances que je démissionne, parce que je suis vraiment tanné de cette entreprise téléphonique. Mais il faut vraiment que je parle à ma femme pour avoir son accord. Il faut que je lui explique tout ce qui ce passe ici à cet endroit, il faudrait que je choisi un nouvel emploi, retourner à l’école, étudier pour un nouveau métier et faire un nouveau CV. J’ai le goût d’un nouveau défi. Mon choix est fait je démissionne. Mais cependant je dois en parler à Johanne.
- Alexis quelle heure est-il ? demandai-je.
- La journée finit dans cinq minutes.
- D’accord merci, dis-je.
Les cinq minutes passèrent, je prends mon manteau, mes clefs et je cours tout de suite à mon auto. Mon automobile est de couleur rouge, décapotable mais je ne peux pas m’en servir sans le toit car on est l’automne et il fait très froid. Elle est munie aussi d’un GPS, sa vitesse maximale est de 270 km/h. La nuit les phares sont très éclairants, le système d’alarme est très fort, tout le monde peut l’entendre. C’est un 4X4, la marque est une Dodge 2007. Je lui fais très attention, c’est comme pour moi un bébé.
Je démarre l’auto, elle démarre très bien. J’appuie sur la pédale et le véhicule avance tout doucement. J’entre sur l’autoroute 15 je vais en direction de Laval Ouest, c’est à ce moment que je remarque que la route est bloqué. Les automobilistes avance tranquillement. J’espère ne pas rester là pendant deux heures, je pense. On dirait que quand que je viens pour partir chez nous il y a toujours du trafic. Tout à coup j’aperçois un automobiliste qui n’avance pas du tout. Tout le monde essaie de le dépasser, mais il y en a un autre qui bloque le chemin de tout le monde, à peut près tout le monde klaxonne. Je décide de regarder ma montre il est maintenant : 5h45. Cela fait au-dessus de quarante cinq minutes que je suis dans le trafic. En plus d’une mauvaise nouvelle, il y a du gros trafic sur l’autoroute 15. D’habitude j’arrive chez nous à 5h40 et le soupé est déjà prêt à cette heure là. J’ai hâte d’arriver chez moi, pour en parler à ma femme, voir mes enfants. Au loin j’aperçus une autre voie qui menait à un endroit différent.
- J’espère qu’ils vont tourner ! dis-je en me croisant les doigts.
Tout à coup, j’aperçu les deux automobilistes, qui décide de tourner dans les deux voies différentes. Enfin la victoire ! Je peux maintenant arriver chez moi. Je regarde ma montre il est : 6h05. D’après moi tout le monde s’inquiètent à la maison ils doivent se demander, où je suis.
Arrivé à la maison, tout le monde m’attendaient. Jonathan avait les bras croisé et Sophia l’air bizarre, Johanne elle a les bras entrecroisé. Elle avait l’air très fâché quand elle me regardait.
- Où étais-tu ? me demande Johanne.
- J’étais dans le trafic sur l’autoroute 15, dis-je.
- Pendant une heure ?
- Oui. C’est parce que il y avait deux personnes qui était très lentes sur l’autoroute.
- Ah oui ? me dit-elle.
- Oui je te le jure sur la tête de ma sœur.
- Bon bien je te croie maintenant.
Tout à coup Jonathan s’approcha de moi et me demande :
- Papa, est-ce que tu as tes vacances ?
- Euh… mm… c’est justement de ça qu’il faut que je parle à votre mère.
J’allais dans la chambre avec ma femme. Jonathan voulait nous suivre jusqu'à la pièce à couché.
- Seul à seul, je lui dis aussitôt en l’arrêtant.
Quand nous sommes entré dans la chambre à couché, je ne savais pas comment lui dire. Je pris mon sang froid et une grande respiration.
- Chérie, j’ai mes vacances le 30 novembre, au lieu du 15 novembre, dis-je désespéré.
- D’accord qu’elle est le problème ? me demande-t-elle.
- Nous partons le 20 novembre.
- D’accord, vous ne pouvez pas changer la date ?
- Non c’est ça le plus gros problème.
- Ah d’accord, qu’est-ce que tu compte faire ?
- C’est ça je voulais… te parler… à ce sujet, dis-je en angoissant, je voudrais démissionner !
- Démissionner ! dit-elle, tu es fou ?
- Non, je croie que se serait la bonne façon, parce que à chaque fois qu’un employer ne peut pas travailler, je dois toujours les remplacer.
- Mais pourquoi tu ne parles jamais de ça ? me demande-t-elle avec quelques larmes aux yeux, tu aurais quand même eu la gentillesse de me le dire.
- J’aurais peur que cela te fasse paniquer.
- Mais la je suis encore plus paniqué que si tu me l’aurais dit avant.
J’étais triste de la voir dans cet état, moi aussi je commençais à avoir les larmes aux yeux. Elle décide de sortir en claquant la porte de la chambre des maîtres. Donc croie qu’elle n’est pas d’accord, je vais repenser à tout ça, et lui en reparler demain. Je n’ai pas aimé la réaction de Johanne car je croyais qu’elle aurait été d’accord.
- Le soupé est prêt, dit Johanne à toute la famille.
- Qu’est-ce que l’on mange ? demande Sophia.
- Des spaghettis à la bolognaise.
- Génial mon repas préféré, lance Jonathan.
J’étais assis à la table, tout le monde me regarde et Sophia me demande :
- Papa Jonathan et moi nous t’avons entendu tout à l’heure parler avec maman.
- Ah oui ! Mais…
- Jonathan et moi sommes d’accord que tu changes de travail.
- Merci les enfants, mais c’est votre mère qui en décidera ainsi, dis-je content que mes enfants soit d’accord à mon sujet.
- Mais moi le seul problème c’est dans quoi que tu veux aller ? me demande Johanne.
- J’ai toujours rêvé de faire un travail de police.
- Oui d’accord, mais sais-tu que il faut que tu retournes aux études.
- Oui je suis conscient de ça, dis-je.
- Bon et bien je suis d’accord de ton choix !
- Merci chérie tu verras je trouverai un meilleur travail que ceci, je m’exclame super content.
Je l’embrasse sur la joue et je cours vers le téléphone pour appeler Alexis, Justin et Dominic. J’ai tellement hâte de leur dire la nouvelle, mais ils vont être déçu parce que eu ils vont rester dans leur boulot. Eux aussi je croie qu’ils vont vouloir changer de travail.
- Allô ? dit Alexis.
- Salut ça va ?
- Oui et toi ?
- Oui, j’ai une nouvelle à t’apprendre, je commence, je vais changer de travail !
- Chanceux tu vas aller ou ? me demande Alexis
- Surement en technique policière.
- Super ! j’ai toujours voulu faire ce travail. Moi aussi je vais changer de travail, parce que le boss a appelé chez nous et il a annulé mes vacances. Je vais te suivre. Donc, cela veut dire que tu vas pouvoir aller en voyage. Appelle Justin moi je n’ai pas vraiment le temps donc fait le toi.
- D’accord je vais l’appeler sans faute, dis-je.
- Merci. Mais je dois te laisser car j’ai du travail à faire, genre faire ma lettre de démission et m’occuper de mon garçon.
- D’accord, au revoir. A+
- C’est ça, a+
Je raccroche le téléphone, et j’appelle Justin.
- Oui bonjour !
- Ah ! Salut Justin, dis-je.
- Salut Denis ça va ?
- Oui et toi ?
- Oui, quoi de neuf ?
- Je change de boulot, dis-je fier.
- Ah toi aussi, moi je change travail parce que j’ai été congédié.
- Qu’est-ce que tu as fait ?
- J’ai bloqué la ligne téléphonique du centre d’achat de la ville de Québec, par accident. Donc le patron a appeler chez moi et il a dit que j’étais congédié.
- Ah c’est dommage. Dans quoi veux-tu aller maintenant ?
- Police scientifique comme CSI : Miami.
- Génial ! Moi c’est Police, dis-je.
- Ah il faut que je te laisse c’est l’heure du soupé ! À la prochaine !
- Oui à la prochaine.
Je raccroche le téléphone pour enfin appeler Dominic je compose le numéro suivant : 555-0229.
- Vous êtes belle et bien chez Dominic, son gars et sa femme, nous ne sommes pas disponible en se moment même, veuillez laisser un court message et nous vous rappellerons dès que possible !
- Salut, Dom c’est Denis tu as juste à me rappeler. Merci
Je raccroche étant donné que c’était son répondeur. Je regarde ma montre il est pratiquement 19h49. Je vais sur l’ordinateur pour écrire ma lettre de démission.









Chapitre 3

Je commence à écrire ma lettre de démission, il faut que je lui apporte demain car c’est le seul temps que je pourrais lui donner car on va être la fin de semaine, donc les fins de semaines je ne travail pas. Donc j’écrie sur ma lettre :
J’avais terminé ma lettre pour démissionner. Je clique sur un bouton qu’il a sur mon logiciel. d’écriture je clique sur imprimé. Tout de suite après avoir cliqué, elle imprima une copie, je la prends et la mets dans une enveloppe blanche et après l’avoir mis je liche la colle sur l’enveloppe qui a un gout dégoutant. Je la frotte sur la lettre. Ensuite j’écrie sur la lettre : À M. Gaétan Laroche.
Après avoir tout fait ça je vais dans le salon écouter un bon match de hockey, Canadiens de Montréal contre Canucks de Vancouver. La partie a l’aire excellente car c’est notre équipe qui mène la partie. Le compte est de 3 à 2. Ils sont déjà à la moitié de la deuxième période. Tout à coup Johanne vient me rejoindre sur mon divan.
- Et puis cette lettre ?
- Je l’ai écrit, fini, imprimé, plié, enveloppé.
- D’accord, mais tu es vraiment sur de ton choix ? Parce que tu as encore le temps d’y penser, tu sais il reste encore au moins cinq jours avant ton départ, m’explique-t-elle, d’un coup qu’il décide de te les donner !
- Non ! je réponds surpris, mon choix est fait. J’ai trop été facile avec mon boss, il me manipulait, il me disait tout le temps qu’il fallait que remplace tout le monde dans le bureau. Je suis tellement tanné moi j’aime vraiment ça être avec vous, mes enfants, faire tout pleins d’activité. Tu comprends ?
- Oui très bien, mais c’est jusque… comment je pourrais bien te dire ça ? J’ai juste peur que si ça ne marche pas ton métier de Technique policière tu laisse tomber et que tu sois en dépression. Tellement en dépression que tu ne voudras plus te trouver un autre emploi. Et que si ça marche bien que tu sois vraiment déçu et que ce soit pire que ton emploi que tu fais en se moment.
- Ça ne risquera surement pas d’arriver.
- Tu me le jures ? me demande-t-elle.
- Oui, je te le jure solennellement !
- Je te fais confiance ! Bon maintenant écoute ta partie de hockey plate, dit-elle en riant.
- Ce n’est pas du hockey plate, dis-je moi aussi en riant.
- Ma grande face toi.
- Je t’aime.
- Moi aussi.
Après cette longue discussion, je recommence à écouter ma fameuse partie de hockey. Montréal mène toujours. Pour une fois que l’équipe montréalaise gagne. La troisième période tire à sa fin et le compte est de 3 à 2 toujours.
Période terminé je vais me coucher et ma femme était déjà endormie, donc je ne pouvais pas vraiment lui parler vraiment. Je lui parlerai demain car j’ai congé. Avant de me coucher je me pris un livre pour m’endormir, un livre me donne mon sommeil, car quand je lis je suis très relaxe, donc ça m’aide à évacuer mon stresse que j’avais pendant la journée. Après ma lecture, je décide de fermer mes yeux de ne plus penser à rien.
Le lendemain matin je me réveille vers huit heures du matin. Je prends comme petit déjeuné : un bol de céréales, avec deux pains grillés ensuite des oranges, des kiwis, des bananes et un bon vers de jus d’orange, sans pulpes. Mes enfants prennent des pains grillés, avec Nutella et beurre d’arachide, un mélange de deux saveurs, ce qui donne un gout succulent. Mais moi se que je vais faire avec mes oranges, je les installe sur ma toast et je le mange comme ça.
Après le déjeuné, je vais m’habiller, je mets une chemise, des pantalons jeans et des bas. Tout de suite après je vais dans la salle de bain pour aller me brosser les dents. Aujourd’hui j’ai décidé de mettre une chemise car je vais souligner tout les années que j’ai été dans cette entreprise téléphonique. Aussi parce que je vais aller porter la lettre à la poste, en se moment il est 10h14 du matin, et la poste ouvre seulement à 10h30 du matin. Quinze minutes plus tard, il est déjà 10h30 du matin, donc la poste est ouverte.
- Johanne ? Je vais à la poste.
- D’accord mon chéri, à plus tard, répond-elle, mais soit prudent sur la route on ne sait jamais ce qu’il peut arriver.
- D’accord promis.
Je sors à l’extérieur et j’ouvre la porte de ma super-automobile, Dodge. Je m’assois à l’intérieur, et je démarre l’auto. Tout à coup je me mis à entendre un bruit bizarre qui provient, du moteur. Je sors de mon auto, et j’ouvre le capo de mon véhicule. Une fois ouvert je regarde attentivement dans le moteur, et j’aperçois un petit écureuil mort, qui était sur le point de bruler, genre incinéré. Je cours tout de suite à l’intérieur me chercher des gants en latex, pour pouvoir enlever l’écureuil. Mais cependant, je vais chercher Jonathan, qui, surement va vouloir voir ça. Donc en premier je vais dans l’infirmerie de la salle de bain me chercher des gants. Après ça, je vais dans la chambre de Jonathan pour aller le chercher, il me suit de ce pas. Mais je ne lui dit pas ce qu’il se passe, il aura la surpris quand il le verra. Rendu près du véhicule. Je dis à mon garçon de regarder.
- Dégelasse, s’exclame Jonathan, comment cela a bien pu arriver là ?
- J’ai aucune idée comment cela a pu arriver là, je réponds.
- Mais enlève cet écureuil.
Je pris l’écureuil et je vais le porter dans les poubelles. Jonathan entra dans la maison en vitesse. Moi je retourne dans mon auto, et je le redémarre. Mais avant je ferme le capo avant. Quand que je la redémarre le moteur, il faisait un bruit très normal, donc plus de problème.
Je décide de mettre un peu de musique, la chanson est You give love a bad name de Bon Jovi. C’est une très bonne musique, moi je l’adore. Quelques instants après je me mets à chanter avec les chanteurs et je mets le son de la chanson plus fort. Mais le seul inconvénient c’est que je chante vraiment mais vraiment mal. Le bureau de poste est à environ vingt minutes d’ici car à St-Janvie, la ville que j’habite, il n’y en a pas.
Vingt minutes plus tard, je suis enfin arrivé au bureau de poste. Je descends de ma voiture. Je vais dans le bureau. J’aperçu une petite madame, qui n’avait pas l’air très occupé.
- Bonjour, que puis-je faire pour vous ? dit-elle avec gentillesse.
- Bonjour, j’aimerais poster cette lettre très importante.
- D’accord. Pouvez-vous me la donner ? J’aimerais regarder si il y a tout se qu’il faut, le coordonné de la personne, ainsi que le nom de la personne.
- Ah non ! J’ai oublié de l’écrire, avez-vous un crayon ? Je suis vraiment désolé, c’est de ma faute !
- Ah non ! Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes la seul personne à qui que cela arrive. Tenez. Peser fort car il n’écrit pas bien, m’avertit-t-elle.
J’inscris le code postal de mon bureau, ainsi que l’adresse et le nom. Je lui donne. Et elle me répète tout ce qui est écrit. Pour voir si ce qui est écrit est belle et bien ce que je voulais écrire.
- Cela va vous faire un total de cinquante sous, me dit-elle.
- D’accord, j’ai tout ça.
- Merci. Je vais juste vous avertir que celui à qui vous envoyez la lettre, va la recevoir dans environ quatre jours.
- D’accord, merci beaucoup.
- Au revoir, et à la prochaine.
- Au revoir.
J’ai trouvé la petite madame très gentille. Je retourne dans ma voiture pour aller chez moi. Je mets encore une fois de la musique Rock. Mais cette fois ce n’est pas Bon Jovi c’est Scream de Tokio Hotel. J’adore cette chanson, car elle a un bon rythme.
Arrivé chez moi, il y avait Jonathan et Sophia qui jouait au hockey dehors. Je décide de les rejoindre, avant je vais dans mon garde robe chercher mon chandail des Canadiens, je pris aussi mon bâton de hockey. Je retourne dehors avec ce qu’il me manquait. Jonathan me fait une passe ainsi que je fais une autre passe à Jonathan. Il déjoue le gardien et c’est le but ! Tout à coup trois autres personnes voulaient venir jouer avec nous. Un adulte et deux enfants. Nous décidons de faire une partie ma fille, mon garçon et moi contre un adulte, deux gars.
- Bonjour enchanté moi c’est Mike, se présente l’adulte en me serrant la main
- Bonjour moi c’est Carl, dit le premier enfant en se cachant derrière son père.
- Et moi c’est Francis, se présente le dernier un peu moins gêné que le premier.
- Salut, moi c’est Denis et je suis fier de jouer une partie avec vous ! Voici ma fille…
- C’est correcte papa je suis capable de me présenter tout seul, dit-elle en me coupant la parole, je m’appelle Sophia.
- Bon bien moi c’est Jonathan.
- Bon bien enchanté, dit Mike, j’ai très hâte de commencer à jouer au hockey.
Nous nous mettons en position de mise au jeu, Jonathan décide de la faire. Moi je suis au centre Jonathan, lui est semi-attaquant et Sophia elle est gardienne des buts. De l’autre côté, Mike est en face de moi, donc il est centre. Francis est défenseur et Carl est gardien de but. La balle est mise au jeu et la partie commence. Je gagne la mise au jeu, mais Mike me l’enlève par la suite, suivi de son gars que Mike fait tout de suite une passe, il tire au but, mais Sophia l’arrête.
Deux heures plus tard la partie est terminée. La compte fini 4 à 2 pour nous, le dîné était servi. Nous allons manger du macaroni au fromage. J’avais une faim de loup, mes enfants aussi. J’ai adoré cette partie de hockey, c’est un moment que je vais me souvenir toute ma vie, car j’ai passé du temps avec mes enfants. Je ne pouvais pas en passer souvent avec eu, à cause du travail.
Nous avons tous fini de soupé que moi et mes enfants décidons d’aller jouer au Xbox 360. Je décide de prendre un jeu que mes enfants et moi aimons jouer. Je démarre la console de jeu, nous nous installons sur le divan car les manettes sont sans fils. Le jeu se joue en équipe. Je décide me mettre tout seul et Jonathan et Sophia se mettent ensemble. Le jeu que l’ont joue est un jeu de guerre que presque tout le monde connait. Donc la partie commence, nous sommes sur une île de guerre.
La partie se termine, il est maintenant l’heure du soupé, nous avons joué pendant plus de quatre heures sans arrêt. Excepter que la plupart d’entre nous avait besoin d’aller aux toilettes comme moi et Jonathan.





Chapitre 10

Je me promène dans un endroit de feu avec tous les morts qui on déjà tué. Des silhouettes de fantômes se promenaient à l’entour de moi. J’étais vêtu d’un habit avec des lignes, blanches et noires et mon pied était relié à une grosse boule noire. J’étais comme un genre de prisonnier.
Tout à coup un homme apparait en fumé avec une liste.
- Bienvenue au monde des enfers, je m’appelle François Maestro, vous êtes l’heureux prisonnier de Hadès.
- Mais… mais… mais… qu’est-ce que j’ai fait pour arriver ici ? demandai-je.
- Vous avez tué, s’exclame-t-il avec un sourire de dents noires et pourri, son nom est Frimousse Spectre, surnommé Cobra à cause d’un tatouage de Cobra.
- Mais je ne m’en rappelle pas !
- Cela arrive souvent pour les personnes de 35 ans vous êtes trop jeunes pour être mort, seulement les personnes de quatre vingt ans et plus s’en souvienne ! Croyez-vous en Dieu ?
- Ah et bien oui !
- Bip… mauvaise réponse… vous ne pouvez pas croire en Dieu, vous avez tué.
- Je ne suis pas sur de très bien comprendre.
- Je vais vous expliquez, la croyance en Dieu est une bonne chose mais en même temps une mauvaise chose, commença-t-il avec un bras sur mes épaules, car si vous battez quelqu’un avec des armes. Vous n’êtes plus accepté dans le monde de votre ‘’Dieu’’ si je peux m’exprimer.
- O.K je comprends maintenant, je m’exprime.
- Maintenant allons voir notre fabuleux Hadès ! ricane-t-il.
Nous nous mettons à avancer, François et moi parlons de la mort. Les morts de ce monde n’arrêtaient pas de me toucher le bras pour que j’aille avec eux. Mais François les repoussa avec une torche qu’il faisait apparaître à tout les vingt secondes.
Nous arrivons vers une porte avec tous pleins de tête de mort, la poigné était un bras de squelettes. Il fait apparaitre tout d’un coup, une clef d’un doigt de squelette. Quand il y entra la clef, les poignées bougeaient tout seul pour ouvrir la porte qui menait au Dieu Hadès. Toutes les serrures disparaissaient en fumé noir, certain faisait des zigzags et d’autres faisaient des spirales.
Le chemin que nous suivions était un nuage noir et gris, il y avait des chandelles allumées qui montaient d’environ dix centimètre chacun et qui descendait de la même division. Parfois dans les nuages il y avait des membres à moitié brulé, donc nous marchions dessus cela faisait mal à mes pieds.
À mi-chemin, j’aperçu l’énorme chaise d’où il avait Hadès. Il avait la plume à la main, plutôt un doigt de mort. Hadès était grand, avec de grosses mains brulées, les cheveux noir carbonisé avec de la fumé sur sa têtes. Ses yeux étaient noir, sa barbe était en feu rouge, ses pieds étaient noirs, il avait les ongles affreusement longue et noirs brulé. Quand il respirait cela faisait de la fumée.
- Incline-toi, me fait signe François.
Hadès prit un respire puis avança avec son dos et dit :
- Comme ça nous avons un criminel ici ?
- Oui votre… majesté ! lançai-je.
- Je vais voir sur ma liste ce que tu as fait comme crime, dit Hadès d’un ton grave et brulant.
Il prit sa liste avec des trous brulés et vu que j’avais bel et bien tué une personne.
- Haha je vois, je vois, nous avons un criminel du deuxième degré.
- Qu’est-ce qu’un criminel du deuxième degré ? demandai-je.
- C’est un tueur qui tue avec une arme à feu, commença-t-il en allumant son doigt avec du feu bleu, il amène la personne a un combat mortel d’arme à feu. Tu comprends ?
- Oui, mais expliquez moi d’avantage, insistai-je.
- D’accord, vous avez déjà entendu parler de Jack L’éventreur ?
- Oui cela me dit quelque chose, pourquoi ?
- Lui il est un criminel du deuxième degré car lui : il prenait une tronçonneuse pour tuer ses victimes, les policiers s’engageaient dans un combat mortel, avec leurs armes à feu. Les policiers étaient souvent obligés d’appeler l’armée américaine pour qu’ils viennent essayer de le tuer.
Tout à coup, une silhouette passe sur le côté en me fixant, son visage m’était familier. Donc je demande à Hadès qui c’était la silhouette :
- Excuser moi votre majesté !
- Oui ?
- Pourrai-je savoir qui est la personne qui à passé proche de moi car son visage m’est vraiment familier.
- J’espère que cela vous dit quelque chose ! C’est votre femme !
- Q… q… quoi ?
- Et oui c’est bien votre femme, s’exclame-t-il en prenant une pipe à moitié carbonisé.
- Mais… mais… mais qu’est-ce qu’elle a fait, je demande en versant quelque larmes !
- Elle à tué votre mère, votre père vos deux enfants, voulez-vous voir la scène ?
- Non ça va aller.
François me donna un coup de coude.
- Ne dit jamais non au grand Hadès !
- D’accord pourquoi pas.
Pendant un instant, le Dieu des enfers fit apparaître avec de la fumée rouge un gros bol, contenant du sang rouge. Un instant plus tard, je vis une lueur qui montrait tout ce qui se passait. Je voie ma femme qui était assis sur le divan entrain de pleurer et Jonathan était entrain d’essayer de la consoler. Mais la colère de Johanne fut totalement atroce elle devenait incontrôlable. Elle se dirige vers la cuisine prit un couteau pour couper le steak et transplanta le couteau en plein cœur de Jonathan. Je ne pus m’empêcher de me couvrir les yeux et verser quelque larme. Plus enragé que jamais, elle se dirige vers la chambre de Sophia, avec le couteau plein de sang et rouge de colère, elle s’approcha de plus en plus de Sophia, elle y fait la même reprise qu’elle a faite à Jonathan.
Hadès vu que c’était fini et enleva le bol d’eau. Je me mis à crier de colère et de rage, je voulais tuer tout le monde.
- NOOOOOOOOOON ! je hurle de colère.
Je me réveille en sursaut.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! je hurle de peur.
Mon cœur se mit à battre à cent mille à l’heure. Carina, Justin, Alexis et Dominic, se réveillèrent en sursaut et viennent tout de suite me voir.
- Mon dieu mais à quoi tu rêvais ? demande Alexis, tu nous as foutu une de ses trouilles.
- Je ne peux pas vous expliquez. C’était juste un cauchemar terriblement troublant.






Dernière édition par BartCode le Mer 1 Sep - 16:55, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!   Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_minitime1Ven 23 Juil - 14:55

Désolé, je ne veux faire pas ma méchante... mais je dois avouer qu'il y a beaucoup de travail à faire dans ton histoire. Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_neutral


Dernière édition par Zozo le Mer 28 Juil - 11:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!   Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_minitime1Ven 23 Juil - 16:24

Fais un plan avant.


Héros: Qui sont les héros de ton histoire?

But: Quel est leur but? Pourquoi doivent-ils l'atteindre?

Adjuvant: Qui les aide pour atteindre leur but?

Opposant: Qui les empêche de l'atteindre.

Résume ensuite ton histoire dans un autre plan.

Situation initiale: Comment commence ton histoire?

Élément déclencheur: Q'est-ce qui cause un problème pour les personnages?

Déroulement: Que font les héros pour résoudre leurs problèmes?

Dénouement: Quelle action met fin aux problèmes des héros?

Situation finale: Comment ton histoire finit-elle et qu'arrive-t-il au héros?

Cela va t'aider beaucoup à mettre un peu d'ordre dans tout ça. (En passant l'Amazonie est une forêt et un fleuve au milieu du Brésil, il n'y a pas d'île.)

Signé,

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MessageSujet: Re: Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!   Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_minitime1Ven 23 Juil - 16:44

Voila j'ai changer a la place !
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MessageSujet: Re: Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!   Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_minitime1Lun 30 Aoû - 20:18

Ici BartCode a changé les paragraphes dans son premier message et aimerais bien quelques critiques. Le livre est terminé d'écrire alors il voudrait quelques conseils pour s'améliorer si conseils il y a à donner.
De mon côté je n'ai pas tellement le temps avec mes séries, alors je me fie à vous gens du forum pour lui donner une petite critique sur ces trois paragraphes Wink
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MessageSujet: Re: Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!   Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_minitime1Mer 1 Sep - 16:01

Salut Bart-Code,

Si tu veux, je peux lire deux ou trois de tes chapîtres et te donner mes commentaires. Par contre, si tu veux que je le fasse, je préfèrerais lire les premiers chapîtres.

C'est comme tu veux.

Bye
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MessageSujet: Re: Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!   Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_minitime1Mer 1 Sep - 16:42

D'accord je vais mettre mes trois premier chapitre et mettre un autre mais ce sera le chapitre 10
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MessageSujet: Re: Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!   Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_minitime1Jeu 2 Sep - 10:18

Salut BartCode,

J'ai lu tes chapîtres. Il y a effectivement du travail à faire sur ton texte, mais ne t'en fais pas c'est normal au début. Pour commencer le ponit le plus positif, j'aime bien ton chapître 10. Je souhaitais presque que ce ne soit pas un rêve.

Maintenant, les points les plus évidents à travailler:

Il y a beaucoup de fautes d'orthographe, mais ça c'est le plus facile à corriger.

Il y a beaucoup trop de ce qu'on appelle de language parlé. C'est quand on écrit une phrase qui se dit lorsqu'on parle avec quelqu'un, mais qui ne convient pas dans un livre. En voici des exemples:
-cherche pas le trouble (on pourrait dire à la place: n'était pas le genre à aller au devant des ennuis)
-persque juste des chadails rose (ne portait persque exclusivement que des chandails roses)
-j'étais comme un genre de prisonnier (j'étais comme un prisonnier, tout simplement)

Certaines phrases ne se disent tout simplement pas ou sont à reformuler...exemples:
-Au coin d'un fossé...(un fossé n'a pas de coin...tu pourrais dire aux abords d'un fossé)
- vaccins contre les bactéries (les vaccins sont contre les maladies, pas les bactéries)
- Mon patron est méchant...c'est une phrase est un peu trop enfantiine.
- Le patron ressemble à un vieux monsieur ( ausi enfantin et en plus superflux, c'est normal qu'il ressemble à un vieux monsieur, il a 68 ans.

Il a un peu trop de dialogues. C'est bon d'e avoir pour rendre le texte plus dynamique, mais il faut plus de mises en situation. Celles que tu fais sont trop courtes et parfois on y retrouve des bouts qui sont mal intégrés ou qui n'ont pas leur place. Par exemple, lorsque tu décris la mort de la femme, ça va beaucoup trop vite et on a peine à suivre. par exemple, tu aurais pu ajouter une phrase du genre: Elle savait que la mort viendrait la cueillir bientôt. Alors qu'il la tenait dans ses bras et qu'un filet de sang s'échappait de sa bouche, elle lui fit promettre de réaliser un rêve qu'elle ne pourrait jamais réaliser, faire un voyage en amazonie...
J'aurais aimé avoir plus de détails de ce genre, plutôt que de savoir que son auto a un GPS et peut faire du 270km/h, ce qui est inutile dans l'histoire, du moins à ce stade ci.

Il y a aussi quelques problèmes de ponctuation, surtout en ce qui concerne l'utilisation des virgules. Le meilleur exemple est la phrase suivante:

Il l'ont emmenés à l'hôpital elle était dans un état critique mais...(on devrait voir une virgule après hôpital ou un point et recommencer une autre phrase et aussi une virgule avant le mais. Il y a presque toujuors une virgule devant une préposition)

Ton premier chapître sera celui que tu devras retravailler le plus, car il met le lecteur en contexte et il doit être accrocheur.

Voilà donc quelques conseils pour commencer. Si jamais tu veux retravailler un bout et qu'on le reagred ensuite ensemble, ça me fera plaisir, ne te gêne pas.

Étant donné que le texte que je t'écris est long, je ne me suis pas relu, il est donc possible qu'il y ait quelques erreurs de frappes ou fautes.

Bonne journée
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MessageSujet: Re: Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!   Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!! Icon_minitime1

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Les expéditeurs Tome 1-L'île... J'ai besoins de critique !!!
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